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« Les archives de blog out : Histoire d'une brique de Tétris en 3 dimensions »

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Café Sarajevo

Café Sarajevo
Vendredi matin, je prenais un café à Sarajevo. Après avoir visité, dans le désordre, Sienne, Zagreb, Florence, Ljubljana, Padoue, Saint Tropez et Trieste. Avant d'aller nous perdre à Split, Rijeka, Dubrovnik. Avant, aussi, de retrouver la civilisation et les hordes de plagistes à Antibes. Tellement de villes, de gens, et d'images qu'il va me falloir un peu de temps pour mettre tout ça en ordre. En attendant, la vie reprend doucement, et je finis de lire mes trois semaines de courrier en retard, dans un sous-sol parisien, au milieu des rats crevés dans la climatisation. Pour le coup, je repartirais bien, tiens.

vous ne m'avez pas vu

Piscine

Il parait que quand les gens parlent encore français autour de vous, vous n'êtes pas vraiment en vacances. Du coup nous quittons ce pays de rêve pour un autre, tout aussi ensoleillé.

Bon ça y est, vous arrêtez de baver ?

vacances

enfin les vacances...

état second

wanna play ?

Pour éviter que ce blog ne se transforme en fan-site de Radiohead, je vous épargnerai les paroles de fake plastic trees. Sur ce, je retourne m'entrainer à Mario Kart, j'en ai marre de finir second – derrière une fille en plus.

Et voilà tiens, mettez-moi un paddle dans les mains, et toutes mes jolies idées sur le sexisme et le féminisme foutent le camp. Je vous jure, on est mal barrés hein...

on dirait le sud

c'est quand l'été ?

Après nous avoir donné de faux espoirs en mai, l'été se fait désirer. J'aimerais bien bronzer un peu avant d'avoir quarante ans.

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blueish fireflies

fireflies over troubled water

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missing you.

Se lever.
Se réveiller sous la douche.
Enfiler sa veste – ne pas oublier sa sacoche.
Déambuler dans les rues parisiennes en guettant les nuages.
Arriver presque à l'heure. A deux pas de la porte, ne pas oublier de figer un sourire.
Ignorer l'étau autour de sa poitrine, et supprimer ce petit chevrottement dans la voix.

Un peu d'assurance, que diable.
C'est pas la fin du monde.
Pas aujourd'hui.
Pas encore.

faux départs

Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne nous aura pas été facile de quitter la capitale le weekend dernier. Pourtant, nous étions tous bien chauds pour aller nous fatiguer sur le circuit des 24h du mans, en rollers. Nous venions tous de dormir, sans nous concerter, environ cinq heures. Ce qui n'était sûrement pas une bonne idée, mais qu'importe.

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24h - H-6

Dans 6h, nous partons pour le Mans. Quelque chose me dit qu'on aurait du se coucher plus tôt, mais bon, nous aurons sûrement le plus joli casque. Maïa vient de nous peindre un chef d'oeuvre pendant plus de quatre heures, alors que je lisais les 1500 mails que j'avais en retard. Pfiou.

Allez, zou, au dodo. Vous aurez des photos lundi ou mardi, j'espère :)

Espoirs

Oomph! m'envoyait sa supernova dans le casque au moment où j'ai appris la nouvelle. Je me disais justement qu'il fallait que je me mette à l'allemand, pour comprendre leurs autres paroles (parce que bon, supernova, c'est une chanson en anglais, j'avoue). Et là – non c'est pas du tout le drame – je lis que le parlement néerlandais vient de forcer le gouvernement à changer son vote sur la brevetabilité des logiciels en Europe ; son vote en faveur des brevets devient donc une abstension.

En voilà une excellente nouvelle.

« This measure is possible because at the present moment there is only a political agreement and the formal vote can only take place after the contested text has been translated into the 20 European languages. An emergency brake move in the procedure such as this has never been exercised before. » [ FFII ]

le poids des maux

Difficiles. Je ne trouve pas d'autre adjectif pour décrire les six dernières semaines. Difficiles et épuisantes. Un poil déprimantes, vu le résultat. Mais voilà, je suis idiot sûrement, je garde espoir.

Voilà maintenant six semaines que j'ai accepté de reprendre la direction pédagogique de l'école dans laquelle je travaille. C'est pas trop mon rêve d'enfant que de faire des plannings sous OpenOffice.org et passer le reste du temps en réunion, mais j'ai choisi de le faire quand même, pour relever le défi et faire mieux qu'avant. Parce qu'avant, c'était le boxon. Un foutoir monstre, qui tenait par un bout de ficelle miraculeux. Un désordre crasse qui me fait encore faire des cauchemars, ne serait-ce que quand je cherche une information dans la base de données. Ou l'absence de base de données. Où au final, l'info n'existe pas.

J'ai accepté cette mission, donc, par respect pour nos étudiants, pour faire vivre cette école comme elle le devrait, et pour y insufler un peu d'énergie. Et c'est là que je m'apperçois que j'en manque grave, d'énergie, alors je mets tout ce que j'ai entre 9h et 20h, pour m'écrouler ensuite. J'ai un peu honte d'infliger ça à mon entourage, d'ailleurs, mais je n'arrive pas à gérer ça mieux. Je suis suffisamment fatigué pour m'endormir sous une enceinte, pendant une soirée gothique, avec les jambes qui dansent encore sur Anne Clark ou DAF tellement elles ont envie. Le reste du corps ne suit plus.

Bref, je me démène, Je cours, je cherche, je gratte, je rencontre tout le monde, j'essaie de discuter des problèmes, d'apporter des solutions, et de remuer ciel et terre pour arranger les choses comme elles peuvent l'être. C'est pas toujours évident, confère le paragraphe précédent sur le foutoir.

Aujourd'hui par exemple, j'ai dû recevoir une vingtaine de mails et trois coups de fil de gens furieux. Furieux du manque d'information, furieux des modifications apportées à leur contrat d'étude, et pour le moins mécontent de constater que tout se fait dans leur dos. Chaque fois, j'essaie de me montrer compréhensif, rassurant, sérieux, sans tomber dans la langue de bois. Je n'aimerais pas forcément être à la place des étudiants qui doivent s'adapter aux différents discours. Mais merde, commencer par se faire haranguer vertement, même après un bref « félicitations au fait », c'est pas très très agréable.

Non et puis honnêtement, tout le monde m'attend au tournant. Déjà qu'à la moindre bourde, je le vis comme la fin du monde, imaginez la pression que ça peut me coller. Alors quoi ? Je devrais baisser les bras ? non. Hurler un bon coup ? Peut-être. J'ai surtout envie de dormir, et avant de me coucher, de demander aux gens un peu de patience, même si ça fait un an qu'on tire sur la corde. Ne serait-ce que parce que c'est pas moi qui tirait. De la patience, et du Zen. De la foi, de l'espoir, de la confiance.

Bref, plein de choses impossible à demander à des gens énervés.
Mais c'est pas grave, je leur demande quand même. Et advienne que pourra.

l'auto

- Qu'est-ce que tu achèterais comme voiture si tu gagnais au loto ?
- Une 307 vert métalisé

Je ne sais pas pourquoi j'ai répondu ça. J'aurais pu sortir une réponse classique, une Porsche, une LG, une béhème, et tout le monde aurait trouvé ça normal, mais non. Sur le coup, une 307 me semblait très bien. Pas trop grosse, que je puisse la garer, pas trop lente, que je puisse rouler un peu. Mais pas trop rapide, je n'ai pas besoin de me frustrer sciemment, non plus. Bref, une 307 donc. Verte. Avec de la peinture métalisée. La couleur de l'espoir avec des reflets de Terminator dedans, ça me plaisait bien.

- Tu sais, manu, son rêve, c'est d'avoir une 307.
- J'ai toujours su que c'était un garçon à voitures. Personne ne peut être parfait.
- Non mais j'avais dit ça, c'était dans le cas où je gagnais au...
- Et il fera comme dans son jeu là, il mettra des autocollants partout dessus
- ...loto.
- Avec des roues personnalisées et tout ? Ouah ! En fait ton copain c'est un gros fan de tuning...
- C'est pas du tuning, j'en veux une vert...
- Ouiiiiii, tu devrais le voir en train de personnaliser sa voiture, il est en transe chaque fois qu'il gagne un nouveau sticker ou une couleur de peinture !
- métalisé... Oh et puis oubliez ça, en fait j'ai pas besoin de voiture.
- Ah non mais attend, je ne veux pas te casser ton rêve hein, non non.
- Et puis chacun ses petits travers.

Je voudrais disparaître, ou rembobiner. Revenir sur cette toute petite phrase, et gommer ces yeux qui pétillent à l'évocation d'une vulgaire auto.

le pire est passé

Ça y est, il a enfin vu le jour ! Au bout de 9 mois, on a beau être prévenu, on commence à trouver le temps long. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne sera pas né prématuré celui-là. D'habitude, je suis le premier à dire qu'ils sont tous moches à la naissance, mais celui-là c'est différent, regardez-donc comme il a une trogne tout mignonne ! Même son petit derrière est terrible (faut pas de répéter mais c'est moi qui ai pris la photo en plus). Et puis comme il fait encore un peu frais le soir, on lui a trouvé un petit bandeau rouge très seyant.

Bref.

Le pire est avenir est en librairie, vous pouvez le commander en ligne à la FNAC, et/ou aller le demander à votre commerçant préféré. Je l'ai déjà lu plus de quatre fois (une sous Word, une en PDF, une sur papier, une hybride, toutes avec un stylo à la main), alors qu'il n'était pas fini, et déjà j'avais du mal à le lâcher. Je ne peux que vous le recommander très, très chaudement. Vous allez en prendre plein la tête, vous rêverez des personnages la nuit, et surtout, si vous arrivez à déterminer le sexe de l'un d'eux, Silence, avec certitude, vous pourrez contacter l'auteure à l'adresse qui figure au début du livre pour le lui dire. Ensuite elle pourra vous expliquer pourquoi vous vous plantez.

Le pire est avenir, c'est plus qu'un livre. Ce sont 109 chapitres, 109 jours pour une quête de sang neuf. Ce sont des vérités qui vous éclatent au visage, cruelles, indéniables. C'est le livre de la génération Counter Strike, du moins de ceux qui campent, 4/6 à l'épaule. C'est l'histoire d'une rébellion bien plus menaçante, dangereuse et proche de nous que n'importe quelle autre. Et aussi la plus belle baffe dans la gueule de beaucoup de vieux beaux, une remise en question totale, abrupte, des « leçons » de mai 68, une critique virulente de l'anti-jeunisme rampant.

Si vous avez 21€, foncez l'acheter. Si vous ne les avez pas, trouvez-en 19.95 et allez à la FNAC l'acheter. Si vous l'aimez, offrez-le, et faites-le lire.

Bon quand même, évitez juste de l'offrir pour la fête des pères, on ne sait jamais...

demi youpie

La LCEN vient de se faire rectifier le portrait par le conseil constitutionnel. La loi en soi continue d'exister, et de poser certains problèmes, d'où le demi-youpie. Néanmoins, beaucoup des points extrêmement dangereux de cette maudite loi ont été supprimés, et il y a largement de quoi se réjouir.

Dans un avis rendu public hier, le Conseil a censuré une disposition du texte qui pénalisait lourdement la publication en ligne par rapport à celle sur papier. Il a par ailleurs émis une réserve d'interprétation sur un autre point, qui confiait aux hébergeurs le soin de censurer les sites litigieux qu'ils accueillent sans en passer par un juge. [ Libération ]

mais oui bien sûr

Google, parfois, a un peu de mal à comprendre ce qu'on lui dit. Surtout si comme moi, on est un gros novice en termes marins, et qu'on lui demande quel est le terme utilisé pour dire qu'on retourne son bateau.

Bref, qu'est-ce qu'on dit quand on a un voilier et qu'on se retourne comme une coque de noix, avec le mât à la place de la quille (à part : bordel de merllblblblblblbl pffft, elle est salée crénom !)

pan dans les dents !

Il est 9h30, et je suis dans la salle d'attente. Ce qui veut dire que je me suis levé en plein milieu de la nuit - 8h15. Je regarde la fiche que je dois remplir, incrédule. Non je ne suis pas encore enceinte, je suis un peu jeune. La dernière fois que j'ai vu un médecin ? Ouh là... Je devais être jeune, encore, je n'ai donc pas noté ça sur mon petit carnet. D'ailleurs je n'ai pas de petit carnet. Est-ce que je fais des allergies ? Oui, aux salles d'attente, mais sinon ça va merci. Ah oui si, aux fraises. Ah... galère. Bon. J'entoure une batterie de NON, et je signe.

Elle arrive, me prend gentiment la fiche des mains, et j'entre dans la salle toute blanche. On cause deux minutes, et je m'allonge sur la chaise en essayant de ne pas la confondre avec le lit que je viens de quitter.

Le moment fatidique est arrivé, on me demande d'ouvrir la bouche. Je tremble, et j'ai peur que mes amygdales foutent le camp. Elle jette un oeil, et vu sa tête, ça n'a pas l'air gagné. Je vois des fraises tourner partout. Peut-être que je suis enceinte en fait. Regard de travers - toujours cet air effrayé sur le visage de la dame. J'ai quoi dans la bouche madame dites ?

- Tes dents de sagesses sont sorties. Mais alors, elles sont complètement perdues...

Perdues ? Mais non, je les sens, elles sont bien là pourtant. Peut-être qu'elle veut dire qu'elles ont poussé un peu n'importe comment. Moui, ça doit être ça. Je vois bien ça dans ma tête maintenant. Bon, rien de grave alors ?

- En attendant les radios, je vais détartrer un peu devant. Ah. T'as pas beaucoup de tartre...

Ben non, j'utilise calgon tous les matins. Enfin bon. On dit que les bonnes dents s'entartrent, c'est un mécanisme naturel de défense. J'ai toujours été une quiche en auto-défense. Mes dents ne doivent pas faire exception.

Les radios arrivent. Elle a toujours l'air effrayée. Alors quoi, j'ai un cancer des dents ? Dites-le moi, je vous en prie ! Je savais déjà qu'elles étaient de travers, mais vous savez, on fini par s'y attacher à ses dents, alors quoi ? Il faut m'emputer ?

- Je sais pas si on va arriver à les sauver ces deux là...

Ces deux là, ce sont des molaires. Enfin c'étaient. Là, ce sont juste deux grosses tâches noires sur une radio. Soulignées par un trait gris. Le nerf, apparemment. Bien sûr, je n'ai pas besoin de poser la question, ça se voit sur mon visage : autant je sais les écouter, autant je n'ai jamais appris à lire une radio.

- Les tâches noires, là, ce sont des caries, et j'en ai rarement vu d'aussi grosses.

J'aurais juré que c'étaient mes dents, encore ce matin, en les brossant. Kasparov, si tu m'entends...

un lait fraise siouplé

Tiens, la chaleur a dû me taper dans l'œil avec une poutre hier. Je viens de me rendre compte que j'avais complètement dévié de mon intention première dans le billet précédent. Bon, remédions à ça.

Il y a quelques années déjà, j'ennuyais beaucoup d'étudiants et quelques professeurs attardés. Ces gens là utilisaient pine, un logiciel non libre faisant semblant de l'être, et m'avançaient comme argument que c'était gratuit, et que c'était pratique. Le problème, c'est que pine marchait très mal dans bien des cas, et que ça emmerdait tout le monde - sauf les utilisateurs de pine, évidemment. L'autre problème, c'est qu'on disposait d'outils libres qui faisaient mieux, mais qui demandaient de changer deux ou trois habitudes bien ancrées.

Du coup, je m'étais décidé à harceler les utilisateurs emmerdants, en leur envoyant dans les dents un pine, c'est mal à chaque message pourri. Avec un lien sur ce joli texte explicatif. Un vrai chieur, comme on en trouve peu. Mais avec des arguments, au moins.

Quand j'ai vu poindre à l'horizon le débat sur la license MT3.0, tout cela m'est revenu comme un boomerang en pleine tête. Je me suis vu m'auto-commentant, me lançant des « MovableType c'est mal » sur chacun de mes billets. D'où ma revue de moteur de blog, d'ailleurs. La seule vraie différence (oui je cherche des excuses, j'en suis conscient), c'est que MT est encore bien plus pratique que les autres.

Mais quand même, ça m'a fait plaisir de constater que d'autres avaient pris le relai, et savaient parfaitement exprimer les choses à propos des logiciels « suffisamment libres ».

Maintenant il faut que je me décide à migrer... Et que je trouve l'outil de mes rêves... Écrit en ruby... Oh là là, quelle galère !

history repeating

introduction

MovableType est un excellent logiciel. Il a peu évolué récemment, mais il reste à la fois l'un des plus simples et l'un des plus efficaces. Un peu perturbant pour les non-informaticiens (la première minute, du moins), il est d'une souplesse telle qu'on peut en faire exactement ce que l'on veut, assez rapidement. Mais voilà, il n'est pas libre. Il ne l'a jamais été.

Aujourd'hui, la communauté des carnetiers de la blogiboule mondiale est en émoi. SixApart, la société qui a créé MovableType, a décidé de gagner plus d'argent avec son logiciel, et tout le monde tombe des nues en découvrant la license qui l'accompagne.

Pourtant rien n'est nouveau. Je me souviens avoir eu ce débat avec TDD et Lunar, il y a presque deux ans. A l'époque, je voyais MT d'un mauvais oeil, un peu comme je balance aujourd'hui à Java de sales regards noirs. Longtemps je me suis dit que j'allais utiliser un outil libre. C'était avant que j'essaie MT.

Bref, aujourd'hui, tout le monde fait le bout de chemin que j'avais commencé en décembre 2002, et se rue vers les alternatives. Pour ne pas rester sur la touche, je me suis mis en tête d'aller voir comment les autres outils ont évolué en un an et demi.

Au menu des alternatives possibles, donc :

  • TextPattern
  • WordPress
  • B2Evolution
  • DotClear

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Juste pour faire mentir Georges...

Lors du dernier parisCarnet, Georges, ce fourbe, aurait dit, en évoquant mon blog alors en rade :

« ça la fout mal quand même pour un admin-sys de perdre son blog deux fois en trois mois sans avoir de sauvegarde »

Rien que pour le faire mentir, vous pouvez désormais constater qu'il n'en est rien en allant relire les archives de blog out de février 2003 à novembre 2003.

Certains liens sont cassés, certaines pages individuelles sont manquantes, mais l'ensemble des billets est visible, d'une façon ou d'une autre. La feuille de style est d'origine, et un poil glaciale, j'en conviens.

Round 2

Bap ayant perdu dès le premier round du blogofight, il nous a concocté quelques affrontements bloguesques bien fourbes pour la seconde salve (rien à voir avec régine...). Fort heureusement, j'ai réparé mon blog à temps pour pouvoir lutter à armes égales contre mon adversaire au nom de saucisse trempé dans la chicoré : chypoR.

Mon problème du moment, c'est de savoir comment je vais faire pour me battre avec quelqu'un, moi qui suit un non-violent affirmé. Remarquez, vu l'épaisseur de mes bras, je n'ai pas beaucoup de mérite à préférer réfléchir avant de frapper. J'ai bien demandé à google comment faire pour gagner ce combat de gladiateurs au torse imberbe sans m'épiler ni poser nu avec un aspirateur, mais cela ne m'a pas été d'une grande utilité ; le moteur de recherche le plus utilisé au monde m'a gentiment renvoyé loucher sur le torse de nacara chez nothing.

Finalement, nous sommes tombés d'accord, ma belle et moi. Je poserai nu sur mon blog si je gagne. Avec ça, chypolator n'a aucune chance - *rire démoniaque*.

Je suis bon prince toutefois, grâce à moi il va pouvoir s'entrainer en jouant à blog fighter 2.

bon mais n'oubliez pas de voter pour moi quand même, hein, déconnez pas les gens... spa qu'j'ai peur, mais euh...