Y'a des soirs comme ça où rien ne va. Vous prévoyez de quitter le travail vers 20h, après une grosse journée, et vous allez régler un dernier détail - on vous demande 5 petites minutes de votre temps. 3 heures plus tard, vous ressortez avec la vague impression que le temps n'a pas la même élasticité à 23h qu'à 8h du matin. Et la très nette impression de vous être fait avoir, quelque part. Une seule envie domine, celle de serrer quelqu'un très fort, et de se vautrer sur un coussin rouge bien moelleux.

Ces soirs là, on saute dans un taxi au lieu de faire 3 stations de métro et un changement.