juin 21, 2003
flashy
Après quelques années, de nombreux webdesigners reviennent enfin du tout flash, et axent leurs efforts sur le respect des standards web. Ou au moins sur leur utilisation, ce qui contribue à les mettre sur le devant de la scène.
En ce qui me concerne, les sites entièrement en flash m'ont très longtemps rebuté pour une raison évidente : je ne pouvais pas les voir. Mes navigateurs n'étant pas ou peu supportés par les différents addiciels disponibles, je me résolvais souvent à fermer la fenêtre et aller voir ailleurs. Cela dit, depuis un ou deux ans, le support flash est arrivé à portée d'utilisation des linuxiens de tous bords, d'abord sous Netscape 4, puis Konqueror (via le support des addiciels NN4) et Mozilla.
Ce qui ne veut pas dire pour autant que j'apprécie les sites de ce type. Ils ont un avantage certain : quel que soit le navigateur utilisé, le rendu visuel est à peu prêt le même. Mais ils ont bien des inconvénients, également. Il est difficile de les faire référencer par un moteur de recherche, ils sont souvent long à charger, et la facilité d'utilisation est souvent dégradée, au profit d'animations multiples, inutiles autant que fatiguantes, mais qui tappent à l'oeil du commercial avide de strass et paillettes technologiques.
Pour ceux que le sujet intéresse, donc, Michael Pick fait une étude détaillée des changements qui s'opèrent actuellement sur son blog. C'est par ici et ca se lit tout seul. (via zeldman.com)